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Chambardement à la tête de l’administration du Sénat  Master25
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 Chambardement à la tête de l’administration du Sénat

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Nataly

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13122012
MessageChambardement à la tête de l’administration du Sénat

Le 12 décembre 2012, le bureau du Sénat a procédé à 12 nominations à la tête de plusieurs des principales directions administratives et institutionnelles du Palais du Luxembourg. Ce remaniement de l'administration sénatoriale prend appui sur les départs à la retraite programmés de quelques-uns de ses hauts cadres, dont certains ne seront effectifs qu'en 2014.

En procédant à ces nominations "en bloc", le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, a voulu à la fois ouvrir une nouvelle vague de promotions dans la hiérarchie et, selon les termes du communiqué du bureau, "apporter de la visibilité et de la sérénité à l'ensemble du personnel" de l'institution. Des personnels qui, à tous les niveaux, manifestaient des signes d'inquiétude tant en raison des mesures de réduction des dépenses mises en œuvre depuis 2009 que des attentes – ou des craintes – suscitées par le changement de majorité au Sénat à l'automne 2011.

Un "mammouth" à l'épiderme sensible

Le Sénat et ses quelque 1 300 fonctionnaires, pour un budget total qui s'élevait à 335,577 millions d'euros en 2012, est un "mammouth" à l'épiderme sensible. Les premières opérations de rénovation engagées par le précédent président, Gérard Larcher, n'avaient pas été sans provoquer quelques mouvements d'humeur et d'inédites "manifestations" dans l'enceinte du Palais. Il y avait, de plus, quelques encombrants contentieux à régler – comme celui du Musée du Luxembourg - et de pesantes congestions internes à désenkyster.

Sous les trois ans de présidence de Gérard Larcher, l'administration du Sénat a connu une profonde réorganisation de ses services. Ainsi le nombre de ses directions est-il passé de 23 à 14 à l'heure actuelle. Avec autant de postes hiérarchiques de la haute administration sénatoriale supprimés. Les fonctionnaires du Sénat sont parmi les mieux rétribués de la fonction publique. Les plus hauts salaires émargent jusqu'à plus de 20 000 euros par mois.

Espoirs et dépits

Autant dire qu'un mouvement de l'ampleur de celui qui a été annoncé mercredi suscite autant d'espoirs qu'il peut générer de dépits.

Les deux plus hauts postes de l'administration sénatoriale changent de titulaire. A la faveur du départ prochain, en avril 2013, d'Alain Delcamp, qui occupait la fonction depuis juin 2007, c'est Jean-Louis Hérin, actuel directeur de la séance, qui va devenir secrétaire général du Sénat.

Autre départ, celui du secrétaire général de la questure, Robert Provansal – qui ne s'était pas fait que des amis dans la maison –, auquel succède son adjoint, ancien directeur général des ressources et des moyens, Jean-Charles André.

Changement, donc, aussi à la tête des deux directions générales, qui chapeautent les quatorze directions administratives.

Parti à la retraite fin novembre, le directeur général des missions institutionnelles, Jacques Rauline, va être remplacé , à partir d'avril 2013, par Philippe Cérez, actuel directeur de la législation et du contrôle.

Cette direction générale regroupe six directions. La direction de la séance, précédemment occupée par Jean-Louis Hérin, échoit à Eric Tavernier, actuel chef du service de la commission des finances. Camille Mangin, actuellement chef du service de la commission des lois, succède à Philippe Cérez à la direction de la législation et du contrôle.

Le départ de Jean Laporte ouvre la porte de la direction de l'initiative parlementaire et des délégations – celle où a été reversée l'ancienne ministre Rama Yade – à Jean-Louis Schroedt-Girard, l'ancien directeur du cabinet de Gérard Larcher.

Les trois autres directions conservent leurs actuels titulaires : Jean Cabannes à la direction du secrétariat du bureau, du protocole et des relations internationales, Jean-Luc Dealberto à la direction du compte-rendu analytique et Françoise Wiart à celle du compte-rendu intégral.

Jeu de chaises musicales

L'autre direction générale, celle des ressources et des moyens, passe des mains de Jean-Charles André à celles de Patrick Baudry, actuel directeur de la communication. Sous sa tutelle, huit directions. Benoît Chadenet reste à la direction des ressources humaines et de la formation. La direction de l'accueil et de la sécurité est pour l'instant vacante après le décès soudain de Grégoire Roederer. A la direction des affaires financières et sociales, Alain Di Stefano est remplacé par Xavier Canchon, actuel directeur de l'architecture, du patrimoine et des jardins.

La direction de la communication, laissée vacante par Patrick Baudry, est confiée à Michèle Kadi, actuelle chef du service de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication. Anne Buge, pour l'heure responsable de la division des applications informatiques, devient directrice des systèmes d'information. Philippe Waquet conserve la direction de la logistique et des moyens généraux.

Changement encore à la direction de la bibliothèque et des archives, où le départ de Jean-Paul Richard permet l'arrivée de Claire-Emmanuelle Longuet, actuelle responsable de la division des questions et du contrôle au service de la séance.

Enfin, à la direction de l'architecture, du patrimoine et des jardins, Philippe Roux-Comoli, actuel responsable de la division des affaires administratives et financières de ce service, succède à Xavier Canchon.

Un véritable jeu de chaises musicales, donc, au sein de l'administration sénatoriale, savant dosage de promotions programmées, de diplomatie, de renouvellement et de féminisation. Cinq des quatorze directions sont désormais gouvernées par des femmes.


source: lemonde.fr
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